La consommation des espaces naturels, agricoles et forestiers en Île-de-France, une performance notable qui s’est régulièrement améliorée ces dernières années

Dans le contexte de l’objectif national « zéro artificialisation nette » inscrit au Plan biodiversité en 2018 et de sa déclinaison territoriale en cours, la Direction régionale et interdépartementale de l’équipement et de l’aménagement d’Île-de-France (DRIEA) a publié cette étude. Cette étude dresse un état des lieux des données disponibles pour mesurer et mettre en perspective le phénomène d’artificialisation ou de consommation d’espaces naturels, agricoles et forestiers (NAF) en Île-de-France sur les 20 dernières années.

Les données fournies par le Mode d’Occupation des Sols (MOS) Île-de-France en 2017 ainsi que les les Fichiers fonciers / Observatoire national de l’artificialisation des sols au 1er janvier 2018 sont analysées à la lumière des découpages administratifs (départements, intercommunalités, communes) des entités géographiques du Schéma directeur de la région Île-de-France (SDRIF) en vigueur adopté en 2013. La destination de l’artificialisation, selon si les espaces NAF ont été consommés pour produire du logement ou des locaux d’activités, est également analysée dans la présente étude.

Afin d’évaluer son efficacité, l’artificialisation est mise en perspective avec les dynamiques de construction de logements et de locaux d’activités ainsi que l’évolution de la population et des emplois aux différentes échelles territoriales.

Pour en savoir plus :

Partager la page

S'abonner

Sur le même sujet