Coefficients de pleine terre et de biotope : quelques préconisations

Les sols non imperméabilisés en milieu urbain jouent un rôle-clé pour la présence de nature en ville, la lutte contre la chaleur urbaine, la réduction des inondations, autant d’enjeux prégnants dans le contexte du changement climatique. Il est donc essentiel de préserver et restaurer la qualité des sols en ville.

Préserver les sols dans les PLU

En définissant un projet de territoire sur le long terme, le PLU est un des leviers les plus efficaces des collectivités pour préserver les sols, et ainsi garantir le maintien et l’amélioration du cadre de vie et la résilience du territoire face au changement climatique. La DRIEAT publie des fiches pour éclairer les collectivités en charge d’élaborer des PLU(i) et les services de l’Etat sur la disposition du code de l’urbanisme visant à définir dans le PLU(i) des coefficients « de surfaces non imperméabilisées ou éco-aménageables », communément appelés « coefficients de pleine terre » ou « coefficients de biotope par surface », qui constitue une obligation pour près de 40% des communes en Île-de-France. Retrouvez sous quelles conditions ces coefficients sont utilisés et dans quels contextes ils peuvent être adaptés.

Consultez les fiches élaborées par la DRIEAT

Ces fiches ont été élaborées sur la base des travaux du CEREMA, de l’OFB et du réseau Planif Territoires

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